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Force les gars 💪🏼

Bonne chance pour le projet ✡️

Force les mecs ☘️

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Bonne chance à nous

très beau thread

En amont

beau thread, good luck

beau thread, faites le taff in game, good luck

faites ça bien les gars

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lourd

Très beau

Bonne chance

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C'est quali, bonne chance à vous 🙂

Bonne chance les amis 🙂

Ce thread suit une OPG, affaiblie et désorganisée, qui s'apprête à venir sur le devant de la scène pour instaurer son influence. La faction n'est pas exclusivement réservée aux personnages d'origine russe : d'autres ethnies eurasiennes comme les Géorgiens, Tchétchènes, Arméniens et bien d'autres, y sont les bienvenus. Pour plus d'informations sur la manière de rejoindre, se recenser et obtenir la permission de postuler des screenshots, rendez-vous ici https://discord.gg/7QhpWmZD8Z

Dmitri Krasnov Un visage bien connu dans les cercles criminels eurasiens est celui de Dmitri « Dima » Krasnov, supposé être un vor (voleur dans la loi). Peu d'informations fiables circulent sur lui en ligne, la plupart provenant du site primecrime.ru. En 1993, il aurait été « couronné » à la prison de Butyrka, réputée pour sa rigueur et sa dureté. Il a effectué plusieurs allers-retours en détention et cumulé plus de vingt années derrière les barreaux au cours de sa vie. Après son incarcération prolongée, Krasnov s'était imposé dans les années 2000 comme un entrepreneur influent dans l'import-export de véhicules. Son réseau commercial reliait la Turquie, l'Allemagne ainsi que plusieurs pays d'Europe centrale, où il revendait des voitures de manière officielle. Cette activité légale lui permit de renforcer son image d'homme d'affaires respectable. En 2012, Krasnov quitte la Russie pour s'installer aux États-Unis, officiellement grâce à un visa d'affaires. À son arrivée, il déclare travailler dans l'import-export de pièces automobiles pour un concessionnaire et fonde Premium Deluxe Motorsport, vitrine légale de ses activités. Derrière cette façade, ses véritables motivations restent cependant opaques. Le ministère russe des affaires intérieures avertit le FBI qu'il serait venu « diriger et coordonner les activités du crime organisé russe » sur le sol américain, une alerte que les autorités fédérales prirent au sérieux. D'autres sources offrent une lecture différente. Roman Shleynov, rédacteur au Novaya Gazeta, rapportait dès 2012 que Krasnov aurait surtout fui un climat devenu hostile en Russie, où de « nouveaux entrepreneurs criminels, indifférents à l'autorité des anciens comme Yaponchik », rendaient sa présence trop risquée. Selon lui, l'homme n'aurait pas poursuivi de carrière criminelle aux États-Unis. Néanmoins, plusieurs sources suggèrent qu'il s'y impliqua, bien que l'ampleur exacte de ses activités reste floue. Krasnaya Mafiya Krasnaya Mafiya, ou « Red Mafia », désigne la criminalité organisée d'origine eurasienne opérant aux États-Unis. L'essor de nouvelles générations de criminels a transformé les dynamiques internes, ces groupes, souvent appelés OPG (Organizovannaya Prestupnaya Gruppa), ne sont plus directement sous l'influence des vor v zakone aux États-Unis de nos jours et adoptent des pratiques plus flexibles et adaptées. La criminalité eurasienne regroupe aujourd'hui des individus issus de diverses origines: russes, géorgiens, ukrainiens, tchétchènes, arméniens et d'autres, reflétant la diversité ethnique de ces réseaux. Aujourd'hui, ces organisations démontrent une capacité d'adaptation. Une nouvelle génération de criminels émerge du désordre laissé par leurs prédécesseurs, marquant ainsi un renouveau et annonçant une période prometteuse pour le crime organisé eurasien.

Réservé

Réservé

The Third Institution Il existe trois institutions dominantes pour les Irlando-Américains de Los Santos : l'Église catholique, le Parti démocrate, et la mafia. Tout le monde ne croit pas. Tout le monde n'adhère pas. Mais dans l'ensemble, presque tout le monde accepte ou tolère la présence de ces structures. Les Irlando-Américains de l'Est de Los Santos vont à la messe le dimanche et s'adressent au prêtre pour organiser baptêmes, premières communions, mariages ou enterrements. Ils comptent sur leur chef de circonscription ou sur les délégués du Parti démocrate pour faire sauter une amende de stationnement, obtenir une dérogation d'urbanisme ou se repérer dans la bureaucratie municipale. Quant à la mafia, dans l'ensemble, ils font comme si elle n'existait pas. Le crime organisé irlando-américain est un phénomène qui précède celui de la mafia italo-américaine, La Cosa Nostra. Il s'agit du plus ancien groupe criminel des États-Unis, avec une histoire documentée dans presque toutes les grandes villes du pays. Issu des gangs de rue exclusivement irlandais du Nord-Est au XIXe siècle, le crime organisé irlandais a prospéré avant et pendant la Prohibition. Grâce à leur sens des affaires, les Irlandais ont mis en place des circuits efficaces de contrebande d'alcool depuis l'Irlande jusqu'aux côtes du Nord-Est américain, ce qui a donné lieu à une période de richesse et d'expansion sans précédent. La majorité des gangs de rue et organisations criminelles irlandaises se sont effondrés dans les années 1940. La concurrence directe avec les gangs italiens et leurs familles a mis fin à bon nombre d'entre eux. Mais dès les années 1950 et 1960, les gangs irlandais du Nord-Est ont connu une résurgence. Cette nouvelle vague a vu émerger des organisations telles que le Winter Hill Gang, les Westies et la Charlestown Mob. Ces groupes se sont imposés comme des acteurs majeurs de l'underground criminel dans le Nord-Est américain pendant plusieurs décennies. Ils se sont implantés durablement dans les quartiers irlandais des grandes villes et ont entretenu des relations étroites avec les Cinq Familles de la mafia italo-américaine. À un certain moment, en raison de leur niveau d'organisation jugé supérieur, les forces de l'ordre ont soupçonné des liens entre ces groupes et l'IRA provisoire, en pleine période de conflit nord-irlandais. Cette ère de soupçons et d'activités soutenues n'a toutefois duré qu'environ quatre décennies, avant que les unités spécialisées dans le crime organisé ne démantèlent largement ces structures à la fin des années 1980. Le crime organisé irlando-américain à Los Santos remonte à l'époque de la Prohibition. Des contrebandiers irlando-américains ont envoyé des hommes dans le sud de San Andreas à la fin des années 1920 pour écouler de l'alcool illégal dans les zones rurales et urbaines défavorisées. Après le krach de 1929, certains mafieux irlando-américains se sont détachés pour fonder leurs propres organisations criminelles dans l'Est de Los Santos. Davis À l'ombre des grues rouillées et des entrepôts qui bordent les docks de Los Santos, Davis a accueilli de nombreux immigrés irlandais venus chercher du travail au port au début du XXe siècle. Jusque dans les années 60, il était tolérable d'avoir des pancartes indiquant "No Irish, No Blacks, No Dogs" à l'entrée de certains petits magasins du quartier. Dans ce climat de rejet, les Irlandais installés à proximité se sont repliés sur eux-mêmes, formant des noyaux durs, souvent familiaux, cherchant à exister par tous les moyens. Les jeunes issus de la deuxième et troisième génération, frustrés, ambitieux, prêts à en découdre pour une place dans un monde qui ne voulait pas d'eux ont structuré les premières bandes locales. Mais la montée en puissance des gangs afro-américains, l'arrivée massive de drogues dures dans les années 80, et la guerre ouverte pour le contrôle des rues ont rapidement changé les règles. Trop petits, trop désorganisés, les groupes irlandais se sont retrouvés dépassés. Meurtres internes, arrestations en série, rivalités mal gérées : la plupart ont fini éclatés ou enterrés avant d'avoir construit quoi que ce soit de durable. Des années 90 jusqu'à aujourd'hui, l'histoire s'est répétée sous une forme plus discrète. Quelques figures ont émergé du Midwest ou du Nord-Est, envoyées par des réseaux plus établis y voyant un vivier prometteur mais en vain. Presque tous ont déplacées ou abandonnées leurs opérations sans préavis. Quelques locaux subsistent, s'organisant en un petit réseau qui opère de manière isolée par appât du gain.

UNITED STATES DISTRICT COURT – CENTRAL DISTRICT OF SAN ANDREAS People of the State of San Andreas v. Delashaun Garner et al. Exhibit 12 – Gang Intelligence Report Il est établi que le groupe connu sous le nom de “7-4 Grove Criminals” (74GC) constitue un set actif basé sur Grove Street, South Los Santos. Fondé par Delashaun Garner avec l’appui de Waverly Mayweather, de son frère Kesean Mayweather et de Rhimeek Hodge, le collectif a évolué d’un simple regroupement de jeunes du bloc vers une organisation criminelle structurée. Leur culture est marquée par une hybridation singulière : elle emprunte à des codes anciens de la rue californienne, mais intègre également des références symboliques issues d’autres Nations criminelles du Midwest, ce qui leur confère une identité particulière et une imagerie hybride. Les renseignements recueillis indiquent l’implication du 74GC dans le trafic de stupéfiants de proximité (cannabis, crack, pilules), la possession et l’usage répété d’armes à feu prohibées ainsi que dans divers faits de violence armée, d’extorsions et de braquages visant des commerces de quartier. La zone d’influence identifiée couvre Grove Street et ses blocs adjacents, considérée comme leur bastion. Plusieurs rivalités actives ont été signalées vis-à-vis de groupes afro-américains et latinos voisins, notamment dans les quartiers de Davis et Chamberlain Hills. Les éléments matériels retrouvés (graffitis, signes manuels, étoile à six branches, chiffres “7” et “4”) confirment une identité criminelle locale organisée. Les slogans relevés incluent : “74 til the world blow” “On Grove we trust” “Ride for the 7, die for the 4.” CONFIDENTIAL – FOR COURT USE ONLY Historique et implantation Le 74 Grove Criminals ont émergé récemment, lorsque plusieurs jeunes de Grove Street ont cherché à s’affranchir des affiliations traditionnelles pour ériger leur propre bannière. Si certains codes rappellent ceux de groupes plus anciens ancrés à Los Santos, les fondateurs ont su y greffer des symboles distinctifs, tels que l’usage d’une étoile à six branches et une mythologie de “Nation” propre au bloc. Leur noyau initial s’est formé autour de Delashaun Garner, figure brutale et charismatique, qui a utilisé ses liens familiaux et ses connexions locales pour imposer le 74GC comme acteur criminel incontournable dans le secteur. Leur logique repose sur une loyauté de proximité : la rue est érigée comme unique Nation, au-dessus de toute autre affiliation. Les graffitis visibles à Grove Street portent fréquemment la marque du chiffre 74, des étoiles maladroitement tracées, ainsi que des slogans qui renforcent leur revendication territoriale. Leurs couleurs principales mêlent le gris du secteur à des touches plus sombres, un rappel de l’héritage qu’ils revendiquent. Les signes de mains de leurs membres sont codifiés de manière à mélanger couronnes, chiffres et symboles, une grammaire gestuelle propre à leur bloc et difficile à déchiffrer pour un observateur extérieur. Aujourd’hui, le 74GC agit comme une organisation criminelle locale en pleine expansion. Ils assurent une économie parallèle à Grove Street à travers la vente de stupéfiants et la circulation d’armes légères. Ils cultivent une identité forgée sur place, à mi-chemin entre la tradition et l’invention, ce qui leur permet d’attirer la nouvelle génération du quartier. Les violences récentes contre des crews rivaux de Davis et de Chamberlain Hills témoignent de leur volonté d’étendre leur influence au-delà de leur bastion historique. Ils représentent désormais un acteur structuré, enraciné dans la culture de South Los Santos, et dont la légitimité est directement liée à la survie de Grove Street elle-même.